Beaucoup de cavaliers ont le désir de monter à cru, dans des paysages naturels et de réaliser de belles photos. Cependant, il est important de comprendre que cette pratique n’est pas toujours aussi idyllique qu’on le pense. Je vais vous expliquer les avantages et les réalités de monter à cru.
Commencer à monter à cheval : la première étape
Monter à cheval sans selle peut être un défi, surtout si on est petit et que notre cheval est grand. Il faut avoir de la souplesse pour passer notre jambe de l’autre côté, même si c’est déjà difficile avec une selle.
Deuxième étape : Supporter
Quand on monte à cheval, on se sent bien, détendus et confortablement installés dans la selle. Mais sans celle-ci, cela peut rapidement se transformer en cauchemar. Il vaut mieux ne pas être sensible des fessiers, car la colonne vertébrale ne plaisante pas. C’est une des raisons qui peut parfois nous faire regretter d’être cavalier.
Rester en équilibre sans selle lors de l’équitation
Maintenant que nous sommes en selle, il est essentiel de maintenir notre position. Pour ceux qui manquent un peu de stabilité, cela peut être difficile. Il faut serrer, serrer, serrer ! Cela nous prépare au Top 10 des exercices les plus difficiles pour rester en selle.
Reformulation du sous-titre de section d’article de blog: « La quatrième étape : Travailler les différentes allures
Pour les chevaux, ne pas utiliser de selle signifie plus de travail. Il faut se rappeler de talonner comme un débutant, en ayant les jambes levées pour avoir un contact avec les flancs du cheval. Cependant, cela peut être douloureux pour notre colonne vertébrale et peut compromettre notre équilibre. Monsieur Cheval profite de cette situation pour montrer son manque de motivation, ce qui peut être un problème lorsque l’on monte à cru.
La cinquième étape : changer de direction
Ah, ça y est, on avance ! Mais maintenant, il va falloir penser à tourner… et qui dit tourner dit virage, et qui dit virage dit risque de déséquilibre… Encore une occasion de tomber, n’est-ce pas ?
Étape 6 : Faire une pause
Toutes les bonnes choses ont une fin, même les moins bonnes. Mais lorsque l’on trotte, voire que l’on galope avec audace, le changement de vitesse peut être secouant. En étant monté à cru, on a tendance à se pencher en avant, ce qui peut nous déséquilibrer lors d’une transition vers une allure plus lente. Attention à ne pas finir le nez dans le sable ! La direction décline toute responsabilité en cas de perte d’épaule. Monter à cru comporte ses joies, mais aussi ses défis lorsqu’il s’agit de descendre. Vous voilà prévenus 😉.
