De nos jours, il est très simple de trouver des articles qui expliquent comment réussir en CSO. Mais avez-vous déjà pensé à savoir comment échouer lors d’un CSO ? Nous avons décidé de nous démarquer en vous donnant ici tous les éléments nécessaires pour un CSO catastrophique. Grâce à nos précieux conseils, vous êtes assuré de faire un énorme échec !
Être ivre la nuit précédente
Oh là là, on a tous déjà été confrontés à cette situation : une grosse soirée le samedi soir, on se prend une cuite monumentale… Difficile de résister à la tentation, même si on sait qu’on a un concours le dimanche ! Et puis, on a des amis très persuasifs : « Allez, juste un petit verre et tu rentres ! Tu seras en forme pour ta compétition, promis ! » Et voilà, on s’est encore fait avoir… Et le lendemain, c’est pas la joie ! Mais bon, comme dit le célèbre dicton des cavaliers : monter bien, monter plein ! Et cela nous amène généralement au point suivant… Et surtout à rater son Concours de Saut d’Obstacles (CSO) ! Le pourcentage de ratage dépend des quantités consommées… PS : l’alcool, c’est mauvais pour les jeunes !
Des retards lors de la reconnaissance du parcours équestre
Nous le savons tous, la reconnaissance du parcours est extrêmement importante ! Il est en effet difficile de réussir à parcourir un circuit d’obstacles sans l’avoir minutieusement analysé au préalable… Ce qui demande généralement beaucoup de temps ! Il faut compter le nombre de foulées, anticiper le tracé, repérer toutes les petites subtilités qui ont été conçues par les commissaires de piste… En somme, la reconnaissance ne s’improvise pas ! Donc, si l’on arrive en retard et que l’on manque la moitié, voire même si on la saute complètement, vous vous doutez bien que cela mènera à la catastrophe ! Donc, si vous souhaitez vraiment rater votre parcours de saut d’obstacles, n’hésitez pas à vous présenter cinq minutes avant votre passage. Échec garanti ! Le taux d’échec est de 80%.
Éviter la détente : comment échouer en CSO
La détente avant de passer à l’épreuve est essentielle ! C’est important pour échauffer le cheval et pour se préparer soi-même. Il est recommandé de prévoir une vingtaine de minutes pour une détente complète et détendue. Cela permet de s’assurer des meilleures conditions avant de sauter. Ne pas prendre cette étape au sérieux ou la négliger est une garantie de stress lors du parcours ! Donc, ne sautez pas cette étape importante, sinon il y a de fortes chances de rater votre épreuve de CSO ! Faites-nous confiance, nous sommes des professionnels ! Le taux d’échec est de 70%.
Choisir une épreuve trop difficile
Il est essentiel de connaître son niveau pour réussir en compétition équestre. Il faut s’assurer de s’engager dans une épreuve qui correspond à ses compétences. Par exemple, un cavalier de niveau galop 3 qui s’inscrit dans une épreuve de prépa 115 avec un shetland, cela ne semble pas cohérent, n’est-ce pas ? La réponse est évidemment non ! Il vaut mieux rester dans les gradins si on ne peut pas sauter une hauteur de 120. À moins bien sûr que l’on souhaite rater son CSO ! Dans ce cas, on peut s’inscrire à la plus grosse épreuve possible. Mais il est important de noter que le taux d’échec est de 65%, à adapter en fonction de votre poney.
Passer du temps au stand de rafraîchissement
La buvette lors d’un concours est un endroit où les cavaliers se détendent et observent les autres concurrents. Cependant, il est important de rappeler que la buvette est réservée aux cavaliers qui ont terminé leur parcours. Il ne faut pas s’y attarder avant de passer, au risque d’arriver en retard à la reconnaissance ou de manquer la détente. Donc, si vous voulez absolument rater votre parcours de CSO, la buvette est l’endroit où vous devriez vous rendre en premier dès votre arrivée au club ! N’oublions pas que l’alcool est à éviter avant de monter à cheval. Si malgré tous ces conseils vous réussissez quand même sans faute, soit vous ne savez pas lire, soit vous êtes un génie malgré vous ! Et si vous aimez rater des choses, découvrez notre top 10 des choses que les cavaliers ratent tout le temps !
