Les équipements d’équitation évoluent constamment, entre avancées techniques et tendances changeantes, il est important de rester à jour. Au fil des années, les cavaliers et les chevaux ont connu des changements de tendances rapides. Préparez-vous à une séquence nostalgique et sortez vos anciennes photos !
Les cloches à pétales: une option à considérer
Ah, souvenez-vous de ces fameuses cloches que personne ne regrette ! Vous savez, celles qui vous rendaient presque sourd ! Vendues en kit à monter soi-même, il fallait enfiler les pétales une par une autour d’une lanière en plastique à boucler. Ces cloches étaient la hantise des professeurs d’équitation et des jurys de saut d’obstacles. Elles faisaient un bruit assourdissant à chaque foulée, à tel point que certains chevaux qui les portaient pouvaient même en avoir peur.
Les pantalons à rayures
Oh là là, on parle d’un vrai trésor oublié ici ! Le pantalon strié, le compagnon idéal des cavaliers nés avant les années 2000 ! Avant, monter à cheval était beaucoup plus simple. Pas besoin de toutes ces tenues bicolores avec des strass et des paillettes. Pas de modèles ergonomiques fabriqués dans des tissus de l’espace qui font également la vaisselle et le séchage. Avant, on portait des pantalons unis et striés, vous savez, ces petites lignes verticales en relief qui descendaient tout le long du pantalon ! Avec juste une poche et des scratchs au niveau des chevilles, on était déjà hyper à l’aise !
Les mini-chaps à fermeture velcro : une option pratique pour les cavaliers
Les mini-chaps à scratch, c’était vraiment plus simple avant ! Elles étaient équipées d’une grande bande velcro qui traversait verticalement toute la jambe. Pour les fermer, il suffisait de les ajuster avec une boucle en haut du mollet. On pouvait les serrer comme on voulait, selon notre confort. Les cavaliers de plus de 20 ans se souviennent sûrement de ces mini-chaps pratiques et faciles à utiliser.
La bombe en velours : un choix élégant pour les cavaliers
Comment parler d’équipement d’équitation sans mentionner l’élément essentiel pour tous les cavaliers ? La bombe en velours, un classique indémodable. À l’époque, on ne cherchait pas à avoir la dernière bombe à la mode, comme la GPA ou la Samshield, qui sont maintenant dépassées. Que l’on soit débutant ou professionnel, nous avions tous la même bombe en velours avec une attache à trois points, une petite boule sur le dessus et un nœud papillon à l’arrière. Bien qu’elle soit encore vendue dans les magasins d’équitation, elle est souvent remplacée par le casque. Les casques de différentes couleurs réglables pour les enfants et les casques aérés pour les autres sont les successeurs dignes de la bombe en velours, qui commence à être oubliée. Cette bombe, qui sera bientôt exposée dans un musée, est vieille comme le monde, elle a même survécu au big bang et à la guerre des tranchées. Elle se fixait simplement avec un élastique sous le menton. Si nous avions de la chance, nous avions également une jugulaire et un rembourrage disgracieux qui traversait notre nuque de gauche à droite. En bref, nous ne la regrettons pas.
1. Le choix idéal de veste pour les compétitions équestres
On termine notre classement avec un exemple emblématique, le blouson de concours FFE. Il occupe la première place parce que son succès a été éphémère dans l’histoire des équipements d’équitation ! Star des terrains de concours pendant seulement 2 ou 3 ans, il a connu son apogée à la fin des années 2000. Ce blouson court, informe et fermé par un zip devant, a rapidement été relégué au fond des placards, laissant la veste de concours traditionnelle reprendre sa place. Nous avons essayé de le vendre, mais personne ne le voulait déjà. Du moins, nous avons gardé les patchs velcro « FFE », « France » ou « Allemagne » qui se collaient en haut du dos pour en faire des porte-clés… Est-ce que cela vous rappelle des souvenirs ? Plutôt une honte ou plutôt une fierté d’avoir commencé l’équitation il y a si longtemps ? En tout cas, il y a certainement des objets que vous avez conservés. Dans les placards comme dans la sellerie, nous avons toujours des affaires abandonnées que nous gardons quand même, n’est-ce pas ?
