Vraiment ? Vous croyiez que ces chevaux mythologiques étaient heureux dans leur situation ? Si seulement vous pouviez vous mettre à leur place un instant, vous comprendriez à quel point leur vie est difficile. Cet article démontre clairement les nombreux problèmes auxquels ils sont confrontés.
Les chevaux mythologiques les moins enviables
On connaît tous la licorne, cet équidé d’une blancheur éclatante associé à la magie et à la guérison. Mais être une licorne n’est pas si génial qu’on le pense. Elles ont une barbiche à la base, imaginez-vous avec une barbiche ! Et un pif au milieu du front, c’est pas très esthétique. Sans parler des sabots fendus où les petits cailloux peuvent se coincer. Et le pire, c’est que tout le monde les poursuit pour leur couper la corne et fabriquer de la poudre magique. Même le Seigneur des Ténèbres veut leur sucer le sang. Donc être une licorne, on oublie.
Le cheval ailé légendaire connu sous le nom de « Pégase
Celui qui a imaginé Pégase devait avoir l’esprit très créatif. Un cheval divin qui vole, c’est plutôt original. Mais concentrons-nous plutôt sur la vie de ce pauvre cheval mythique. Imaginez essayer de trouver une position confortable pour dormir avec de grandes ailes ! En plus, il y aurait des plumes partout, ce qui lui donnerait certainement des allergies. Et puis, il ne peut même pas se gratter le nez à cause de ses sabots. Et que dire des jours de pluie ? Pégase ne peut pas vraiment voler sous la pluie, n’est-ce pas ? Je suppose qu’il passe ses soirées à regarder la météo, avec un paquet de chips aux pommes ouvert à côté de lui, tout en se grattant la croupe à cause de ses maudites plumes.
Bucéphale, un cheval mythologique peu brillant
Ah, voici encore l’un de ces chevaux mythologiques aux destins peu enviables. On peut dire que c’est impressionnant d’être le cheval d’Alexandre le Grand, mais ça l’est beaucoup moins lorsqu’on a peur de son ombre. Après tout, on ne peut pas vraiment se débarrasser de son ombre, n’est-ce pas ? Même les chevaux de club ont fait l’expérience de cela dans les carrières, et ils en sont sortis indemnes (même si leurs cavaliers ont eu leur dose de sable, c’est certain), mais pour ce cheval-là, c’est au-dessus de ses forces. En plus, imaginez un cheval noir qui bouge et qui a peur d’une tache noire qui bouge… D’ailleurs, on raconte que Bucéphale descend d’une des juments de Diomède. Et on verra plus tard que cela aussi n’est pas facile à vivre.
Le cheval-homme mythologique connu sous le nom de centaure
Les centaures, ces créatures mythologiques mi-homme mi-cheval, ne sont pas exactement les créatures les plus pratiques. Bien qu’ils n’aient pas à se préoccuper de se cogner le petit orteil contre les meubles, ils rencontrent d’autres problèmes épineux. Imaginez seulement essayer de chasser les mouches qui se posent sur leur croupe ! Ils ne peuvent pas simplement les chasser d’un revers de main, ils doivent espérer que leur queue soit suffisamment longue pour les éloigner. De plus, étant croisés avec des chevaux, ils ont probablement une bonne dose de poils, ce qui n’est pas vraiment flatteur. Et pour couronner le tout, ces créatures ont un caractère épouvantable, ce qui signifie qu’elles passent la plupart de leur temps à se battre les unes contre les autres. On peut dire que l’ambiance n’est pas vraiment au beau fixe chez les centaures !
Les chevaux sauvages de Diomède
Ces juments peu enviables sont connues pour leur régime alimentaire plutôt inhabituel. En effet, elles sont carnivores et se nourrissent de viande, mais pas n’importe laquelle. Elles préfèrent la viande des esclaves ou des prisonniers, qui est souvent sèche, filandreuse et peu appétissante. Leurs noms, Dinos, Lampon, Podargos et Xanthos, sont également difficiles à retenir. Cependant, leur sort a finalement été scellé lorsque leur maître, Héraclès (ou Hercule), les a utilisées pour se débarrasser d’un ennemi en les nourrissant de sa propre chair. Après cet événement, elles sont devenues dociles. On peut imaginer que leur vie ne devait pas être facile, car elles devaient se demander à quelle sauce elles allaient manger leur compagnon de centre équestre. Donc, si vous envisagez de devenir l’un de ces chevaux mythologiques, je parie que vous avez changé d’avis ! Si vous êtes intéressé par des histoires de chevaux plus mignons mais qui connaissent également des difficultés, je vous invite à lire notre article sur les pires galères de poneys trop mignons.