Bienvenue dans l’univers des courses d’animaux, en particulier les courses hippiques ! Avec les courses de trot, de galop, les steeple-chase et les paris à Quinté+, il est facile de se sentir perdu. Mais ne vous inquiétez pas, je suis là pour vous aider à démêler tout cela et à devenir un pro des paris hippiques. Suivez le guide et vous serez bientôt incollable dans ce domaine spécialisé.
Qu’est-ce que les courses hippiques en réalité ?
Les courses d’animaux, en particulier les courses de chevaux, sont extrêmement populaires en raison de leur vitesse et de leur endurance. Les chevaux fascinent les humains avec leur mécanisme de déplacement unique. Bien que des courses animalières de toutes sortes soient organisées partout dans le monde, nous allons nous concentrer principalement sur les courses hippiques. Les courses de chevaux existent depuis l’Antiquité, et elles étaient l’une des premières épreuves équestres à se développer, en particulier en Grèce. À cette époque, les courses faisaient partie des jeux olympiques et se déroulaient dans des arènes, où plusieurs épreuves comme la course de chars ou la course autour du bucher étaient organisées. Si les courses étaient à l’origine un divertissement, elles sont aujourd’hui devenues un véritable business, avec des ventes et des paris de chevaux en plein essor.
Terminologie équine
Nous comprenons que les termes spécifiques des courses hippiques peuvent parfois être déroutants. Voici quelques conseils pour vous aider à décrypter les conversations lors de votre prochaine visite à l’hippodrome :
– Allocation : Une somme d’argent versée aux cinq premiers chevaux arrivés en récompense.
– Course à réclamer : Un type de course où les chevaux sont vendus aux enchères à la fin de la course. C’est souvent une opportunité pour les propriétaires de présenter, tester et vendre leurs chevaux débutants.
– Canter : L’allure de galop avec laquelle le cheval se rend dans les boîtes de départ.
– Crack : Un terme utilisé pour décrire un cheval ou un jockey très performant.
– Engager : S’inscrire dans une course (ce terme peut également s’appliquer à d’autres disciplines équestres).
– Maiden : Un cheval qui n’a pas encore remporté de course.
– Pénétromètre : Un instrument utilisé pour mesurer la qualité et la praticabilité du terrain.
– Steeple-chase : Un type de course avec différents obstacles tels que des haies, des murs et des rivières. Il doit y avoir un minimum de huit obstacles.
– Sulky : Une charrette individuelle à deux roues, tirée par un cheval lors des courses de trot.
Nous espérons que ces explications vous aideront à mieux comprendre le langage utilisé dans les courses hippiques. Profitez de votre journée à l’hippodrome !
Nous vous présentons quelques épreuves et leur fonctionnement
Dans le monde des courses hippiques, il existe différentes épreuves : le trot, le galop et les courses d’obstacles. Le trot se décline en deux types de courses : attelées et montées. Dans les courses attelées, le jockey est assis sur un sulky tiré par le cheval. L’objectif est d’atteindre la ligne d’arrivée en maintenant le trot le plus rapide possible, sans passer au galop. Dans les courses montées, le jockey est à califourchon sur le cheval et le principe reste le même : franchir la ligne d’arrivée en maintenant un trot rapide, sans passer au galop, sous peine de disqualification. Contrairement au trot attelé, le trot monté offre au jockey une meilleure visibilité et un meilleur contrôle de l’allure. Deux types de départs sont utilisés pour ces courses : le départ « volté » et l’autostart. Dans le départ volté, les chevaux entrent en file indienne derrière une corde selon un ordre précis. La course débute lorsque le dernier concurrent entre en piste. Cependant, dans ce cas, les faux départs sont fréquents car les chevaux coupent souvent la ligne de départ prématurément. Dans le départ avec autostart, les concurrents sont répartis en deux lignes derrière une voiture qui roule lentement devant eux. Lorsque la voiture accélère, le départ est donné. En ce qui concerne les courses d’obstacles, il y a trois épreuves : la course de haies, composée de haies à franchir, et le cross country.
Les jockeys français qui ont laissé leur empreinte dans le monde des courses hippiques
Autrefois, les jockeys étaient considérés comme des esclaves et étaient appelés « auriges ». Leur statut a beaucoup évolué depuis. Aujourd’hui, être jockey est un métier à part entière, avec des critères physiques et techniques stricts. Les jockeys doivent avoir une condition physique excellente et respecter un poids et une taille spécifiques en fonction du type de course. Par exemple, pour une course sur le plat, le poids maximum est d’environ 50 kg, tandis que pour une course d’obstacles, il est de 60 kg maximum. Avant chaque course, les jockeys sont soumis à une pesée pour vérifier leur taille et leur poids, sous le contrôle d’un commissaire de course. Les couleurs des tenues des jockeys sont choisies par les propriétaires des chevaux pour les reconnaître facilement. Les couleurs doivent être déclarées à la Société d’Encouragement des chevaux avant la course. Bien que je ne puisse pas donner d’explications supplémentaires, je peux vous donner notre liste des jockeys français préférés : Jean-Renée Gougeon, Jean-Pierre Dubois et Yves Dreux.