Tout cavalier randonneur sait que les randonnées à cheval ne sont pas toujours aussi relaxantes qu’on pourrait le penser. Les journées peuvent être longues et être accompagnées de difficultés. En tant qu’amateurs de randonnée, nous vous présentons les principales angoisses auxquelles les cavaliers randonneurs peuvent faire face.
Chute et cheval qui s’enfuit
Votre poney est-il un peu nerveux ou pas du tout ? Quoi qu’il en soit, il est toujours possible de tomber de cheval… Assurez-vous qu’il soit suffisamment attaché pour pouvoir le rattraper facilement, sinon vous risquez de vous retrouver à faire de la marche nordique à travers les bois pendant qu’il s’amuse bien.
Les problèmes de ferrure chez le cheval
Votre maréchal ferrant a récemment ferraillé votre cheval avant votre randonnée équestre, mais ses fers sont déjà usés après seulement quelques jours. Vous espérez qu’ils tiendront jusqu’à la fin, mais au cas où cela ne serait pas le cas, vous pourriez demander de l’aide à un ami qui possède des clous et un marteau. Ou peut-être que votre ami connaît quelqu’un qui peut vous aider. Sinon, vous pourriez toujours contacter un maréchal ferrant. Cette situation peut être source d’inquiétude en attendant de trouver une solution.
La crainte de s’égarer, un véritable cauchemar pour les cavaliers en randonnée
On a parfois du mal à avoir confiance en soi lorsqu’on part en randonnée équestre avec des amis. On sait bien que la navigation n’est pas notre point fort et que la carte ne nous aide pas vraiment. Et si en plus il y a du brouillard et que la nuit approche, mieux vaut ne pas y penser. Il suffit juste de se dire que si on passe devant le même gros caillou trois fois, il est temps de faire demi-tour.
Éprouver une grande faim
La peur de manquer de nourriture est sans doute l’une des angoisses les plus communes chez les cavaliers randonneurs. Être en plein milieu de la montagne, entouré de troupeaux de moutons plutôt que de restaurants, rien que d’y penser peut donner la nausée. Et si en plus on réalise que la boîte de maquereaux risque de ne pas suffire car le pain a pris l’eau, on est presque prêt à s’évanouir. Dans ces moments-là, on se rappelle avec nostalgie du dernier dîner chez mamie. En revanche, les cavaliers de concours ont l’avantage d’avoir déjà expérimenté les sandwiches triangles à 5 heures du matin.
Éprouver une gêne au niveau du siège
Et si le principal problème des cavaliers lors de longues randonnées était le confort du derrière ? À moins d’avoir une selle de randonnée de qualité, il est recommandé d’avoir une trousse de premiers soins bien garnie. Et si vous n’avez pas de fesses en acier, il est conseillé de protéger la zone sensible avec du coton ou des feuilles de châtaignier pour éviter les frottements. Mieux encore, optez pour une housse de selle en mouton ! Et pour couronner le tout, offrez-vous un bon massage de votre moitié non cavalière… Alors, êtes-vous toujours partant pour de longues chevauchées ? Sinon, vous pouvez toujours profiter de quelques belles balades en attendant !
